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1ere Circonscription Les Républicains de la Gironde

1ere Circonscription Les Républicains de la Gironde
1ere Circonscription Les Républicains de la Gironde
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10 avril 2016

CANTON DE CAUDÉRAN 1ERE CIRCONSCRIPTION DE LA

 

CANTON DE CAUDÉRAN

1ERE CIRCONSCRIPTION DE LA GIRONDE

 

 

Chers amis, Chers compagnons,

Je vous propose de nous retrouver, à l’occasion d’une réunion de canton,

le mardi 26 avril 2016 à 19h00,

au restaurant l’Agape, 40 rue Gambetta à Caudéran,

en présence de Pierre Lothaire, maire-adjoint de Caudéran et conseiller départemental, et de Géraldine Amouroux, conseillère départementale.

Nous vous présenterons, à cette occasion, la composition et l'organisation de notre comité de circonscription et de votre canton de Caudéran.

Nous parlerons également de la méthode et de l'organisation dans la perspective des primaires des 20 et 27 novembre prochains.


Un
diner amical clôturera notre assemblée.

Nous vous remercions, pour des questions d’organisation, de bien vouloir indiquer par retour de mail si vous participerez au diner.

En espérant vous retrouver nombreux, mardi 26 avril, Chers amis, Chers compagnons, recevez mes sincères salutations. 

P. Gallien

Délégué Les Républicains
1ère circonscription de la Gironde.

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14 février 2016

Juppé de loin le préféré des Français pour être candidat en 2017 au nom des Républicains, selon un sondage

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Paris (AFP) - Alain Juppé est la personnalité de droite "préférée" des Français comme candidat à la présidentielle de 2017 au nom du parti Les Républicains, loin devant Nicolas Sarkozy et François Fillon, selon un sondage BVA pour Orange et iTELE publié samedi.

A la question de savoir quelle personnalité ils "préféraient" voir représenter le parti LR en 2017, 47% des sondés ont répondu Alain Juppé, devant Nicolas Sarkozy, à égalité avec François Fillon (11%). Bruno Le Maire est à 10%, un point devant Nathalie Kosciusko-Morizet (9%).

Parmi les sympathisants de droite, l'écart entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy est moindre: 48% contre 20%, suivi de Bruno Le Maire (11%). Chez les sympathisants LR strictement, Alain Juppé totalise 43% contre 30% à Nicolas Sarkozy, quand François Fillon est à 9%, selon cette enquête.

En termes de "bonnes opinions", Alain Juppé arrive aussi en tête (63%) devant Bruno Le Maire, pas encore officiellement candidat à la primaire (48%), suivi de François Fillon (43%). Chez les sympathisants LR, le tiercé est différent: Alain Juppé (83%), Bruno Le Maire (79%) et Nicolas Sarkozy (72%).

Au vu de cette enquête, Alain Juppé bénéfice d'une bonne cote chez les sympathisants PS (69% disent avoir une bonne opinion de l'ancien Premier ministre), et d'une très bonne cote chez les centristes (91% de bonne opinions à l'UDI et au MoDem).

Entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, 54% des Français estiment que le premier est le plus à même "de rassembler les Français", contre 34% au second. Et 53% des Français jugent le premier plus "capable de faire gagner la droite" contre 35% optant pour le président de LR.

En outre, 52% des Français considèrent Alain Juppé davantage "capable d'améliorer la situation de la France", contre 33% pour l'ancien président de la République.

Ce sondage a été réalisé, par téléphone, puis par internet, les 11 et 12 février sur un échantillon représentatif de 1.053 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas).

14 février 2016

Les Républicains unanimes devant les désastres de la politique de François Hollande

Sénateur de la Vendée, président de la région des Pays de la Loire, président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau a une conviction qu'il a voulu partager avec le millier de conseillers nationaux présents samedi et dimanche à la Porte de Versailles.

« On ne remporte des élections qu'en les faisant sur ses convictions ». Un message adressé alors que notre famille politique prépare son projet d'alternance 2017 et qu'elle se met au clair sur sa stratégie politique.
Une façon pour Bruno Retailleau de montrer qu'en matière de convictions, la colonne vertébrale de François Hollande est particulièrement faible. Et de prendre exemple sur un nouvel atermoiement de François Hollande avec sa récente annonce d'un référendum local pour la réalisation de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
« On fait un référendum pour appliquer la loi », s'étrangle Bruno Retailleau qui rappelle que François Hollande met ce référendum sur la table « pour uniquement trancher un conflit entre son Premier ministre socialiste et son ministre écolo de l'Environnement sur un projet qui a quand même fait l'objet de 160 décisions de justice ».
Inquiet par le déclassement économique et le sentiment de dépossession identitaire, Bruno Retailleau projette son regard vers l'alternance de 2017 avec cette assurance que « les réformes se feront si les Français ne doutent plus d'eux-mêmes ».

« La gauche c'est un désastre mais nous voulons réussir ensemble en 2017 », convient Hervé Mariton, député de la Drôme pour qui la confiance ne peut s'acquérir que grâce aux résultats. « Le rétablissement de la confiance c'est la culture du résultat », résume-t-il, déclinant toutes les politiques qu'il faudra appliquer dès 2017 tant « l'heure est grave. Il sera bientôt trop tard pour résoudre les maux de la France », lance-t-il gravement.
Suppression des conseils économiques, sociaux et environnementaux (CESR), qu'ils soient national ou régionaux, suppression du statut de la fonction publique, pleine compétence du RSA par les départements, impôt universel et proportionnel, suppression de niches fiscales, abrogation de la loi RSU, abrogation de la loi Taubira…, Hervé Mariton apporte sa contribution « pour assurer le redressement de notre pays et porter le drapeau des libertés ».

Pour Nadine Morano, le constat de la politique de François Hollande est identique. « La France sortira de ce quinquennat abimée et meurtrie. La France est déclassée, attaquée sur ses valeurs, sur son socle fondateur, l'organisation territoriale s'est complexifiée », accuse la député européenne qui assigne un « objectif principal » à notre famille politique : « battre François Hollande dont la politique est si néfaste pour la France ».
« Quelle France laisserons-nous à nos enfants », interroge-t-elle, insistant sur les racines chrétiennes de la France qu'elle souhaite inscrire dans notre constitution.

Rêvant d'une « France décomplexée », Jean-François Copé, député-maire de Meaux tenait à fait part de son expérience de 20 mois de rencontres avec les Français. « Même si tout est organisé pour casser le moral de nos compatriotes, j'ai vu un pays qui va à la fois très mal et très bien », constate-t-il. « Les habitants en ont marre d'être pointés du doigt pour ce qu'ils sont, ce qu'ils font, marre d'être épiés, contrôlés, empêchés de faire. Notre pays veut retrouver sa souveraineté, ce qui ne veut pas dire qu'il est anti-européen, mais il veut retrouver sans rang après des réformes nécessaires.», analyse-t-il.

Comme tous les intervenants, 2016 est aux yeux de Jean-François Copé « une année importante pour nous car elle prépare 2017, l'année de la dernière chance si on veut enrayer le déclin ».
Alors, oui, il faut « profiter de 2016 pour porter le débat devant les Français en étant plus ambitieux dans l'annonce des résultats et plus humble dans l'annonce des mesures ». Plus humble, ce serait « 15 propositions pour déverrouiller le pays. Si bien qu'en septembre 2017, la France doit se consacrer à leur mise en œuvre et consacrer les quatre années suivantes à les appliquer ».

Henri Guaino est venu pour sa part dire ce qu'il avait « sur le cœur. Je regrette la disparition du RPR, d'un mouvement gaulliste qui se revendique comme tel », a-t-il confié estimant que le Gaullisme était « la grande exigence politique et morale de notre temps. Je crois à l'indépendance nationale et à la souveraineté du peuple et j'en ai assez qu'on les abîme »,a-t-il lancé, estimant que « l'effacement de l'idée gaulliste a mené à la radicalisation de la société et à la montée des extrêmes. »
Refusant que l'on dresse les catégories des Français les uns contre les autres, « ma famille c'est le Gaullisme national, humaniste tourné vers le grand large » ,a-t-il souligné.

« Nous ne gagnerons pas avec la prudence mais avec du courage », juge pour sa part Eric Ciotti, député, président du conseil départemental des Alpes maritimes, Secrétaire général-adjoint aux fédérations qui a remercié le président Nicolas Sarkozy « de porter l'espérance de l'alternance pour la France ».
Heureux du travail accompli lors de cette première journée du Conseil national, « il nous faut retrouver une ligne droite pour éviter la confusion, rester fidèle à nos valeurs fondatrices. Ma fierté est d'être de droite par rapport à une gauche qui a mis à genoux notre pays. Etre de droite, c'est de considérer que la France est une nation, une et indivisible », note Eric Ciotti pour qui « la France a besoin d'autorité »
Fustigeant un gouvernement « qui recule à Moirans ou sur l'A 1 », Eric Ciotti estime qu' « être de droite, c'est l'exigence de défendre notre identité, de garantir la permanence d'un mode de vie fidèle à notre passé et à notre culture. ». A ses yeux il est important dans le contexte actuel de défiance à nos valeurs de « réaffirmer le principe de la laïcité ». Et de proposer de rajouter le mot laïcité à la devise de la France, « une façon d'ériger une digue contre les fanatismes ».

Autant de contributions ajoutées à toutes celles des conseillers nationaux qui ont satisfait Isabelle Le Callennec, députée d'Ille-et-Villaine et vice-présidente des Républicains. « Nous nous sommes écoutés, exprimés et nous avons co-produit.
Nous renterons, dimanche, avec une feuille de route et une énergie décuplée », estime celle qui ne veut pas qu'on « laisse caricaturer le mandat du bilan d'avant ».
Réforme de la retraite, droits de succession, service minimum dans les services publics, réforme université, heures supplémentaires défiscalisées… « C'était le temps où la France comptait en Europe. Ce temps est révolu », déplore Isabelle Le Callennec qui a profité de sa présence à la tribune pour « accuser l'absence de courage de François Hollande et de son Gouvernement qui rechignent à défendre l'agriculture à Bruxelles ».
Et de stigmatiser « l'opposition systématique de la majorité à toutes nos propositions relançant la compétitivité de l'agriculture. Une proposition de loi a été votée au sénat. Elle a été rejeté par la majorité socialiste à l'Assemblée nationale », lance-t-elle, dépitée avant de donner rendez-vous, dimanche, pour la conclusion de ce Conseil national.

14 février 2016

François Fillon : En 2017, il faut battre impérativement la gauche et changer ce système économique et social qui nous tue.

« Champion des impôts, champion du chômage, champion de la dette, champion des apparences avec Macron en tête de gondole qui parle mais n'agit pas, mais aussi champion des promesses abattues par la réalité… ».

Ancien Premier ministre, François Fillon a profité du Conseil national pour dire tout le bien qu'il pensait de la politique menée par François Hollande.

« Plutôt que remanier son gouvernement, il aurait dû remanier depuis longtemps sa politique », juge François Fillon constatant combien « notre nation, au bord de la révolte, s'enfonce ». Et d'évoquer ces « agriculteurs performants » qui travaillent 90 heures sans pouvoir se verser de salaire la fin du mois ; ces entrepreneurs et artisans « qui paient tellement de cotisations, d'impôts et de taxes que leur revenu est inférieur au SMIC » ; ces habitants « dans nos cités, au bord de l'explosion ».

Accusant François Hollande de n'avoir « aucune vision de l'Europe », déplorant que la France soit en panne économique alors que tous les autres pays européens ont redémarré, François Fillon pointe une autre faiblesse du président de la République : « ne pas s'être donné tous les moyens de détruire l'Etat islamique ».

Favorable à la déchéance de la nationalité des terroristes parce qu' « il ne faut pas de pitié pour ceux qui sont sans pitié », François Fillon critique les « improvisations » de François Hollande. « Ce que je n'accepte pas c'est qu'on touche à notre Constitution pour rien, pendant qu'on occulte les vrais problèmes. Les vrais problèmes, c'est l'efficacité de notre lutte contre l'Etat islamique en Syrie ; c'est le renforcement de nos dispositifs de sécurité et de renseignement qui ont montré des failles ; c'est le combat contre le salafisme qui ronge l'islam en France ; c'est la bataille contre le chômage de masse qui mine notre jeunesse », énumère François Fillon.

Pour lui, la ligne politique est « claire » : battre « impérativement la gauche et changer ce système économique et social qui nous tue à petit feu ». La solution ? « Faire confiance à la liberté qui est la première valeur de notre devise et l'étincelle du progrès, créer une France productive, une France du plein emploi ».

Cela passe, selon François Fillon, par des mesures radicales : baisse du coût du travail, généralisation de l'apprentissage, réforme de l'assurance-chômage, dégressivité des allocations chômage, baisse des charges, baisse des impôts, réduction du nombre de fonctionnaires…
« Tout cela est radical parce que la situation est radicalement bloquée », convient François Fillon qui veut également renforcer l'autorité républicaine et rappeler « que nous sommes tous Français et tous égaux ».

Aux yeux de l'ancien Premier ministre, « les derniers arrivants ont des devoirs avant de réclamer leurs droits ». Et de proposer de réduire l'immigration « à son strict minimum » par l'organisation de quotas.
L'horizon 2017 François Fillon le voit sereinement et positivement pour notre famille politique et pour notre pays qui pourra « effectuer son retournement en deux ans, se redresser en cinq ans et, en l'espace de dix ans, la France peut être la première puissance européenne », assure-t-il.

14 février 2016

Luc Chatel élu président du Conseil national

Vice-présidente des Républicains, Isabelle Le Callennec a eu l'honneur, samedi matin, de lancer, quinze jours après son renouvellement, le Conseil national.

Plus d'un millier de Conseillers nationaux venant de toutes les régions de France ont convergé vers la porte de Versailles à Paris pour un exercice inédit : celui de « clarifier notre philosophie politique et préciser nos grandes orientations stratégiques sur le fond comme sur la forme » alors que notre famille politique travaille au projet politique d'alternance.

Mais avant que ne s'entame un long et profond débat entre les conseillers nationaux et l'équipe dirigeante, Nicolas Sarkozy avait souhaité remercier Jean-Pierre Raffarin qui, avec humour, constance et profondeur n'a cessé, depuis 2007, de travailler à l'unité de notre mouvement en qualité de Président du Conseil national.

Ne souhaitant pas se porter candidat à la présidence de ce Conseil national, les anciens ministres Michèle Alliot-Marie et Luc Chatel ont fait acte de candidature et présenté, chacun, leur programme.
De sensibilité gaullienne, Michèle Alliot-Marie souhaitait qu'à l'avenir, la moitié des sujets évoqués soient déterminés par les Conseillers nationaux et que des sessions soient décentralisées dans les grandes régions. Michèle Alliot-Marie voulait profiter des présidences de régions Les Républicains « pour montrer ce que nous faisons sur le terrain ».
Pour sa part Luc Chatel souhaitait « un parti moderne » qui « travaille en réseau » en utilisant notamment l'outil internet, facilitateur d'échanges et de contacts. Afin que le Conseil national puisse « peser davantage sr la direction du mouvement », Luc Chatel a proposé l'élection de 40 membres dans un bureau du Conseil national qui pèserait sur les décisions des instances des Républicains.
Par 532 voix contre 430 à Michèle Alliot-Marie, Luc Chatel a été élu président du Conseil national. « C'est cela le nouveau visage de notre formation politique : un parti qui débat, un parti qui vote, un parti qui choisit », s'est réjoui Luc Chatel félicitant Michèle Alliot-Marie pour sa belle campagne.

Secrétaire général-adjoint chargé des élections, Roger Karoutchi est revenu sur les succès électoraux de 2015 pour Les Républicains. Les départementales, en mars dernier, qui ont permis à l'union de la droite et du centre de gagner 27 départements, passant de 41 à 68 départements. « C'est la première fois qu'un tel basculement a été constaté dans la Vème République avec des victoires symboliques comme l'Essonne et la Corrèze », pointe Roger Karoutchi se félicitant de la victoire majoritaire des candidats Les Républicains et de leurs alliés du centre aux régionales de décembre dernier « malgré des triangulaires ».

Secrétaire général-adjoint aux fédérations, Eric Ciotti est revenu sur l'élection des conseillers nationaux qui s'est déroulée voilà quinze jours. L'occasion pour saluer l'élection de 11 000 nouveaux cadres dont les conseillers nationaux mais également les présidents des fédérations élus pour la première fois au suffrage universel direct. « 50% de ces nouveaux présidents de fédérations sont des nouveaux présidents », précisait Eric Ciotti qui a tenu à souligner « l'engagement noble » des militants qui « incarnent le dynamisme de notre famille pour incarner l'alternance dont notre pays a tant besoin ».
Avec le président Nicolas Sarkozy, Eric Ciotti a fait le constat de la force de notre famille politique, « premier parti de France, force en marche, organisée, qui va préparer l'alternance sur un projet clair, ambitieux ».

Trésorier du parti, Daniel Fasquelle a présenté le budget 2015 qui « a permis de financer la relance du mouvement devenu Les Républicains ». Il note la progression de 136% de l'excédent qui passe de 3,9 millions d'euros en 2014 à 9,2 millions d'euros en 2015. Le trésorier national se félicité également de la hausse de 13% des recettes « grâce à une progression des dons nationaux et des cotisations des élus, cette dernière étant dûe aux succès des Républicains aux élections départementales et régionales.

Députée et présidente du groupe Les Républicains au Conseil de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet a évoqué la prochaine campagne présidentielle, « occasion de préparer une espérance ». Pour elle, « on ne pourra reprendre le fil de 2012 là où on l' a laissé » tant le monde a changé. Évoquant quelques pistes, elle s'est faite l'avocate de la suppression de la durée légale unique du travail. « La durée du travail doit être négociée dans les branches ou dans les entreprises », estime-t-elle, souhaitant qu'on prenne en compte « l'émergence du travail indépendant comme nous l'avions fait sous l'ancien quinquennat avec le statut de l'auto-entrepreneur ».

Conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte-D'azur, navigatrice et Déléguée générale à l'Environnement, Maud Fontenoy a fait part de ses convictions sur l'écologie et l'environnement. « Je suis persuadée que l'écologie peut rimer avec l'économie. Il y a un écologiquement correct dont on a assez », a-t-elle lancé soutenant avec force les agriculteurs « qui sont les premiers écologistes de ce pays. Ce sont eux qui co-construisent la biodiversité. C'est avec eux qu'il faut travailler. Ils sont sur le terrain, le connaissent », estime encore Maud Fontenoy pour qui « une société basée sur un principe de précaution n'est plus viable. Il nous faut un idéal mais pas tomber dans l'idéalisme. La cruauté des écolos radicaux ne me fait pas peur. Des tempêtes, j'en ai vu d'autres », a-t-elle encore lancé, assurant que notre famille politique pouvait « porter une écologie différente, réaliste, réalisable ».

Avant la coupure de midi, de très nombreux conseillers nationaux ont interrogé l'équipe dirigeante et Nicolas Sarkozy sur de très nombreux thèmes, locaux et nationaux. L'occasion pour Nicolas Sarkozy de préciser sa pensée.
Ainsi, sur la loi NOTRe, « je n'accepterai jamais le découpage scandaleux territorial. Je me suis battu pour le conseiller territorial qui était la réponse adaptée », estime Nicolas Sarkozy qui a prévu dans le projet d'alternance de notre famille la possibilité aux nouvelles régions de décider à revenir à la situation antérieure si elles le souhaitent ».

Interrogé sur notre identité, Nicolas Sarkozy a précisé que Les Républicains « n'était pas le parti d'une seule culture mais le parti de la France diverse et multiple. La France n'est pas une race mais un état d'esprit, une culture, une langue ».
Précisant qu'un « mouvement politique en ordre est un parti qui a une direction », il a rappelé que notre famille politique s'adressait « à tous les Français, sans distinction d'origine, d'engagements politiques dans le passé. On est de droite mais pas simplement de droite. On porte les racines de la France dans leur diversité ».

Questionné sur l'islamisme radical, « personne ne peut contester qu'il y a une sourde inquiétude et une colère », a-t-il répondu. « Oui, Les Républicains doit être la formation qui ne reculera plus. La pensée unique a empêché de dire, de mettre les mots sur la colère et l'exaspération des Français. Mais comment donner la certitude que la République ne reculera pas sans caricaturer notre formation ? Le sujet est complexe. Aucune lâcheté. Aucun non dit. Nous avons besoin de parler au peuple français qui a besoin que l'on mettre les points sur les i », a-t-il souligné.

Alors que les agriculteurs, désespérés, sont dans la rue, Nicolas Sarkozy a évoqué la nécessité de mettre en lpace pour la ruralité « un plan Marshall. Ce que nous avons fait pour les quartiers et les banlieues, nous devons le faire pour la ruralité », a-t-il souligné.

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26 janvier 2016

PROFESSION DE FOI DES CANDIDATS AU CONSEIL NATIONAL

Cher(e)s Ami(e)s,

J'ai le plaisir de vous adresser ci-joint les professions de foi des candidats au Conseil National pour la Fédération de la Gironde.

Je vous rappelle que les votes auront lieu dans votre circonscription le SAMEDI 30 JANVIER. Un courrier postal contenant votre convocation et la liste des candidats vous a été envoyé.

Restant à votre disposition pour toute question,

Fidèlement,

Nicolas Florian

Secrétaire Départemental

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louis

29 mai 2014

Lettre de Jean-François Copé aux adhérents de l’UMP

Mes chers amis, Je vous écris aujourd'hui, vous vous en doutez, avec une grande émotion. Les décisions fortes que j'ai prises hier et que j'ai annoncées publiquement à la télévision, tournent une page de notre histoire politique. Cette histoire commune, que vous avez portée, fut riche et forte d'engagements, au service de nos idées et de nos valeurs. Oui, ensemble, nous avons fait de grandes et belles choses pour l’UMP. Ensemble, nous avons redressé la tête après la cruelle défaite de 2012. Ensemble, nous avons résisté face aux projets les plus dangereux de la gauche dans l’unique but de préserver l’avenir des enfants de France. Ensemble, nous avons posé les bases d’un projet de redressement national qui permettra demain de sortir la France de l’ornière, avec plus de liberté, plus d’autorité, plus d’égalité des chances. Ensemble, nous avons remporté aux élections municipales une victoire sans précédent dans l’histoire de la Vème République, semant dans toutes les communes de France, des graines qui compteront à l’avenir. Ensemble, nous avons également dû faire face à des épreuves difficiles. Une déception électorale, après le scrutin européen, dimanche dernier. Des déceptions humaines, lors des querelles internes qui ont suivi mon élection ou lorsque des ambitions individuelles ont brouillé la dynamique collective. Dans les tempêtes, vous le savez, je ne me suis jamais dérobé. J’ai toujours assumé toutes mes responsabilités, prenant la tête des troupes quand le feu faisait rage, encourageant les plus faibles, faisant face à l’adversité. C’est ma conception du rôle de chef. C’est ma conception de l’honneur. Aujourd’hui, l’UMP est confrontée à une lourde épreuve, avec des accusations graves portant sur les dépenses de notre parti au moment de la campagne présidentielle. Selon plusieurs témoignages, des dépenses du Mouvement auraient en réalité servi à financer des dépenses de la campagne présidentielle de 2012, afin de masquer un dépassement du plafond de dépenses. Ces propos méritent évidemment d’être vérifiés par la justice mais en tout état de cause, il apparaît que l’UMP a très vraisemblablement réglé des factures qu’elle n’aurait pas dû honorer. Il y a douze jours, ces révélations ont été pour moi un choc considérable. A aucun moment, je n’avais été informé d’irrégularités dans les dépenses et les procédures de l’UMP. Dans le cas contraire, je les aurais évidemment interdites. Dans cette affaire terrible, je veux vous le dire une nouvelle fois, mon intégrité est totale. Je ne vous le cache pas, ces événements sont pour moi une épreuve douloureuse qui fait hélas partie de l’aventure humaine. Elle m'enseigne une leçon simple : être demain toujours plus exigeant et plus vigilant. La justice est saisie ; je m’en félicite et j’espère qu’elle fera au plus vite toute la lumière sur cette affaire et sur ses responsables. Tout doit être fait également pour que jamais plus de telles irrégularités ne soient possibles à l’UMP, ou dans d’autres partis politiques. Hier matin, mardi 27 mai, j’avais convoqué un bureau politique exceptionnel de l’UMP, afin de communiquer en toute transparence les éléments dont j’avais connaissance et afin de proposer une gouvernance renforcée de notre Mouvement. Fidèle à la mission que vous m’avez confiée, je m’apprêtais à conduire notre Mouvement à travers cette épreuve, pour être le premier artisan de la vérité. Devant la violence des attaques à mon endroit, j’ai réalisé que le spectre de la division menaçait à nouveau notre Mouvement. De nouveaux déchirements risquaient de détruire tout ce que nous avons construit ensemble depuis deux ans. Comme vous, j’ai trop souffert du spectacle des divisions de la fin de l’année 2012. Comme vous, j’ai trop conscience de la nécessité absolue de rester unis dans les circonstances dramatiques que traverse notre pays. J’ai donc pris la décision de démissionner du poste de Président de l’UMP, afin de sauvegarder l’unité de notre famille politique. A partir du 15 juin, une direction collégiale composée d’anciens premiers ministres - Alain Juppé, François Fillon et Jean-Pierre Raffarin -, prendra la tête de l’UMP à titre transitoire. En octobre prochain, un congrès sera organisé : vous aurez de nouveau la parole pour désigner le Président de notre parti, pour exprimer votre sensibilité à travers les différents mouvements et surtout pour choisir la ligne politique que vous voulez pour l’UMP. Je me réjouis que les militants puissent dire ce qu’ils veulent pour l’avenir de notre Mouvement. L’UMP, c’est vous ! En ces moments difficiles, je pense d’abord à vous, mes amis militants et sympathisants, qui avez été de tous les combats, de toutes les campagnes. Je suis conscient de votre déception, de vos interrogations, mais je vous garantis que notre travail n’aura pas été vain, comme l’a montré notre immense succès aux élections municipales. Et je vous invite à poursuivre la reconstruction que nous avons lancée, au service de notre famille politique et de ses idéaux. Alors que le pays sombre dans une crise qui rappelle les affres de la IVème République, alors que François Hollande est incapable d’apporter des réponses aux souffrances de notre peuple, alors que les populismes profitent des angoisses légitimes de nos compatriotes, il revient à notre famille politique de créer les conditions d’un sursaut national. Cette responsabilité historique rappelle celle du Général de Gaulle qui, en 1958, a remis la France en quelques mois sur la bonne voie grâce à un programme de réformes radicales. Hissons-nous à la hauteur de notre Histoire et inventons l’avenir qui permettra à notre Nation de retrouver son rang ! Je voudrais finir ce message par un mot plus personnel : avec vous, j’ai vécu des moments inoubliables. Votre courage, vos sourires, vos espoirs m’ont porté et m’ont poussé à donner toujours le meilleur de moi-même. Je suis fier et heureux d’avoir travaillé à la tête de l’UMP au service de Françaises et de Français formidables, qui s’engagent pour défendre notre pays et nos valeurs, bravant le mépris et l’indifférence. Beaucoup d’entre vous me connaissent et savent qui je suis, ce qui me fait avancer dans la vie, loin des caricatures et des attaques blessantes. Je continuerai de marcher avec vous sur le chemin de la reconquête. Je le ferai avec l’amour de la France chevillé au cœur, avec cette flamme qui toujours m’anime : l’envie de rendre à mon pays tout ce qu’il m’a donné. Du fond du cœur, je veux vous dire « Merci ». Je vous embrasse. Vive l’UMP ! Vive la République ! Vive la France ! Jean-François Copé Président de l'UMP En application des articles 38 et suivants de la loi du 6 janvier 1978, vous bénéficiez des droits d'accès, de rectification, de suppression et d'opposition aux informations vous concernant. Vous pouvez exercer ces droits en nous écrivant à l'adresse : fichiers@u-m-p.org ou à UMP – Relations extérieures – TSA 51558 – 75901 Paris Cedex 15. Si vous ne souhaitez plus recevoir de courriels de la part de l'UMP, vous pouvez vous désinscrire en cliquant ici.
17 mai 2014

JOURNAL UMP BRUGES

17 mai 2014

CAFES EUROPEENS - Rappel

 

 

Cafés européens animés par Gwénaël Lamarque, maire adjoint au Bouscat et colistier sur la liste conduite par Michèle Alliot-Marie : 

- Lundi 19 à 18h30 à la Brasserie du Médoc (angle cours du Médoc / cours Balguerie Stuttenberg à Bordeaux),

Mardi 20 à 19h à L'Assiette Bordelaise (8 quai des Chartrons à Bordeaux - arrêt tram B arrêt CAPC),

Vendredi 23 à 18h au Café de la Place (Place de l'église au Bouscat), 

Ces cafés européens seront suivis d'un repas sur réservation pour ceux qui le souhaitent. 

Au plaisir de vous y retrouver. 

13 mai 2014

Elections Européennes - Réunions publiques et "café européen" du 15/05 au 23/05

Réunion publique PESSAC 15-5-2014

BORDEAUX 16 MAI 2014

Café européen 19-5-14 1er canton

Café européen 20-5-14 2eme canton

Café européen 23-5-14 bouscat

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